tout savoir du e-Liquide

L'e-liquide, utilisé dans les cigarettes électroniques, est le carburant de ce dispositif. Il est composé d'une base PG/VG, d'arômes et, éventuellement, de nicotine. Lorsque chauffé par la résistance de la cigarette électronique, il est atomisé pour produire la vapeur inhalée par l'utilisateur. En France et dans toute l'Europe, la commercialisation de liquides nicotinés est limitée à des formats de 10ml depuis la loi du 1er janvier 2017 sur les produits du vapotage. Pour acheter votre e liquide, nous vous recommandons le site Vapoter qui a le plus grand nombre de référence parmi une sélection des meilleurs produits de vape du marché.

Une alternative au Propylène Glycol (PG) utilisé habituellement dans les e-liquides est le Végétol, un composant 100% d'origine végétale issu de la fermentation de la Glycérine Végétale (VG). Il est apprécié par les vapoteurs sensibles ou allergiques au PG en raison de sa douceur en gorge et de son caractère non irritant. Les e-liquides les plus naturels remplacent le PG par du Mono Propylène Glycol Végétal (MPGV) et utilisent de la Glycérine Végétale (VG) issue du maïs et du soja. Ces e-liquides nécessitent une attention particulière quant au ratio MPGV/VG en fonction du matériel de vape utilisé.

Certains e-liquides, notamment ceux de plus de 10ml, peuvent être boostés en arômes pour compenser la dilution lorsque de la nicotine ou du CBD sont ajoutés. Les sels de nicotine, une forme naturelle de nicotine, permettent des dosages élevés sans irritation en gorge. Les e-liquides au CBD, non psychotropes, sont utilisés comme aide au sevrage tabagique, nécessitant une cigarette électronique de faible puissance.

Les boosters de nicotine sont des concentrés à mélanger avec un e-liquide non nicotiné, tandis que les boosters aromatisés sont parfumés avec la saveur de l'e-liquide. Ces produits sont régis par la directive européenne sur les produits du tabac (TPD) qui impose des règles strictes sur la composition, la promotion et la commercialisation des e-liquides en Europe, garantissant ainsi leur qualité et leur sécurité. Pour les consommateurs soucieux de l'origine de leur e-liquide, le label Origine France Garantie (OFG) garantit une fabrication française, tandis que la certification AFNOR assure une qualité supérieure.

Il est recommandé de conserver les e-liquides dans un endroit sec et à température ambiante, en évitant l'exposition à la lumière, pour assurer leur qualité sur le long terme. Cependant, l'usage de la vape et des e-liquides est déconseillé pour les personnes allergiques à la nicotine ou aux produits inhalés, les femmes enceintes ou allaitantes, ainsi que les personnes présentant des risques cardio-vasculaires, d'hypertension ou des problèmes respiratoires.

Afin de ne rien laisser de côté et vous permettre de tout comprenddre de ce jus électronique, nous étudierons sa composition dans le détail, nous pénétrerons dans les labos qui le fabrique et nous nous pencherons sur l'aspect législatif qui entoure ce produit.

01

Quels sont les éléments constitutifs de la base d’un e-liquide ?

Les liquides électroniques sont composés en grande partie de deux éléments essentiels : le propylène glycol (PG) et la glycérine végétale (VG). Ces deux ingrédients peuvent dans certains cas de figure être remplacés par d’autres. A par ces deux éléments, d’autres produits servent aussi à fabriquer les recharges électroniques.

Le propylène glycol

Le propylène glycol est un produit totalement sain qui n’a pas de couleur ni d’odeur. Il est peu volatile et absorbe l’humidité de l’air. Légèrement visqueux, il intervient dans la préparation de beaucoup d’autres produits.

Le propylène glycol est utilisé dans l’agroalimentaire, les cosmétiques et bien d’autres secteurs. Il est vrai que cet élément est utilisé dans l’industrie des encres, pour fabriquer les détergents et autres. Mais, il convient de préciser qu’il s’agit d’un produit totalement sain. C’est pour cette raison que l’industrie de l’agroalimentaire s’en sert régulièrement.

Ce qu’il faut donc comprendre, c’est que le propylène glycol n’est pas du tout toxique. Dans le secteur de la vape, il est surtout utilisé à cause de sa composition peu visqueuse.

En effet, cette caractéristique lui permet de bien imprégner les mèches des résistances utilisées dans l’équipement de vape. Les fabricants de liquide électronique se servent aussi de ce composé, car il assure un bon transport des arômes et de la nicotine. On lui doit le "hit", cette contraction de la gorge que les fumeurs ressentent au passage d'une bouffée. Le propylène glycol, en inhalation indirecte (MTL), imite assez bien cette sensation chère à ceux qui souhaitent se sevrer.

Un autre point fort du propylène glycol est sa capacité à retransmettre les saveurs. C’est grâce à cet élément que les saveurs sont fidèlement retransmises.

La présence du PG permet donc de faciliter la création de nouvelles recettes très réalistes.

Lorsqu’on parle de propylène glycol, on se rend compte qu’un terme revient. C’est bien sûr le glycol, cette expression désigne un polyalcool. Le glycol est un composé qui est souvent utilisé avec d’autres produits. Il peut donc s’utiliser avec le propylène. Ce qui permet d’avoir le propylène glycol, utile pour faciliter le transport des arômes et de la nicotine ainsi que la restitution des saveurs.

Le glycol peut également être associé à l’éthylène. Dans ce cas de figure, il donne l’éthylène glycol qui est utilisé dans beaucoup de secteurs comme le cosmétique, les systèmes de froid, etc.

La glycérine végétale

L’autre produit phare présent dans les liquides électroniques est la glycérine végétale. C’est un élément visqueux qui n’a pas d’odeur ni de couleur. Ce composé s’utilise dans de nombreuses compositions pharmaceutiques.

En effet, il est souvent présent dans des sirops contre la toux et les suppositoires. Dans l’industrie pharmaceutique, il peut aussi servir d’hydratant. Il joue ce même rôle dans l’industrie du cosmétique où il est aussi utile en tant que solvant ou lubrifiant.

Les crèmes hydratantes, les bains de bouche ou les dentifrices peuvent contenir de la glycérine végétale (VG). En ce qui concerne le secteur alimentaire, la glycérine végétale sert d’additif.

Ce produit est aussi utile dans d’autres secteurs comme la fabrication du papier ou la chimie. Les fabricants de liquide électronique font appel à cet élément, car il permet de produire la vapeur.

Pour avoir beaucoup de vapeur, les clouds chasers n’hésitent pas à recourir à des liquides électroniques à forte concentration en VG. Certains vont même loin en recourant à des recharges électroniques full VG.

Le VG n’est pas uniquement présent dans les liquides électroniques à cause de sa capacité à produire de la vapeur. En effet, il faut rappeler que ce produit permet aussi de diminuer la sensation de hit dans la gorge.

Une autre de ses utilités est d’adoucir les arômes. Le VG sert donc à obtenir un liquide électronique au goût plus suave et plus rond. La glycérine végétale est un produit totalement sain. Il est présent dans beaucoup d’autres secteurs. On la consomme souvent, peu importe qu’on soit vapoteur ou non.

La glycérine végétale ne présente pas de propriétés allergènes. Il n’irrite pas contrairement au propylène glycol (PG). La vaporisation de ce dernier peut irriter certaines personnes.

Pour ce genre de vapoteurs, l’industrie de la vape a trouvé une solution unique. En effet, au lieu d’obliger ce genre de vapoteurs a utilisé un liquide électronique full VG, les fabricants ont réussi à remplacer le propylène glycol par un autre élément.

Le végétol

Tous les vapoteurs n’arrivent pas à supporter le propylène glycol. Pour pallier ce problème, des fabricants on fait appel au végétol. Il s’agit d’un produit 100 % naturel, qui droit son entrée dans le monde de la vape à un laboratoire français.

En effet, en 2014, les laboratoires Xérès ont développé et breveté le végétol. Comme la glycérine végétale, le végétol est un produit naturel. Il est utilisé dans l’industrie de la vape.

D’abord, il convient de préciser que ce produit permet de délivrer un hit plus prononcé. Ceci se fait sans que le vapoteur ne ressente une certaine irritation ou une allergie. Son utilisation dans la cigarette électronique est favorable pour l’arrêt du tabac.

Ceci à cause du simple fait qu’il reproduit la sensation d’une cigarette traditionnelle. Ce phénomène se produit sans que le végétol n’assèche la gorge. Un autre point fort du végétol reste le fait qu’il se vaporise à la même température que la nicotine. Il permet donc de mieux délivrer la nicotine. Ce qui demeure un autre avantage pour ceux qui souhaitent délaisser la clope.

Les autres éléments constitutifs d’un liquide électronique

Pour fabriquer une recharge électronique, d’autres éléments sont utilisés. Les arômes sont incontournables dans ce processus, car ils permettent de fournir du goût aux liquides électroniques.

Les arômes qui existent sur le marché sont de différents types et de qualité variée. Dans la conception des e-liquides, les fabricants se servent également d’alcool. Il faut quand même préciser que l’alcool n’est pas systématiquement présent dans les recharges électroniques.

Les jus électroniques peuvent contenir de la nicotine pour ceux qui en vapotent. Depuis quelque temps sont apparues sur le marché les recharges électroniques au CBD. Ce type de jus électroniques permet aux vapoteurs de profiter des avantages du CBD simplement en vapotant.

composition de la base d'un e-liquide
les arômes de e-liquide et leurs qualités

02

Quels sont les arômes disponibles et quelles sont les différentes qualités présentes dans les recharges électroniques ?

Sur le marché, on retrouve deux grandes catégories d’arômes : les arômes naturels et les arômes industriels. Il faut savoir que les deux familles se valent même si l’une est d’origine naturelle et l’autre est conçu en laboratoire.

Dans l’industrie de la vape, les fabricants ont plutôt recours aux arômes naturels. Ces derniers utilisés par les concepteurs d’e-liquides demeurent adaptés à la vape. Si vous souhaitez être sûr de la qualité des arômes, achetez des produits français tel que ceux de VDL, Savoure ou Alfaliquid, par exemple.

Il convient de préciser que ce type d’arôme est conçu pour une inhalation et non pour une ingestion par les vois digestives. De manière concrète, un arôme pour un gâteau ne pourra pas être utilisé dans une recharge électronique.

Les qualités des arômes varient grandement. Les fabricants vont utiliser un certain type d’arôme en fonction du résultat final qu’ils souhaitent avoir. Il faut rappeler que l’arôme permet de retransmettre plus fidèlement les goûts. Les arômes utilisés dans toutes les recharges électroniques sont de bonne qualité. Le vapoteur n’a donc rien à craindre en se servant des liquides électroniques.

Parmi les arômes que l'on peut trouver, on trouvera des saveurs fruitées, de plus gourmandes, les inconditionels mentholés et classics (qui veulent se rapprocher du goût du tabac). Même s'il demeure possible de trouver un e-liquide avec une saveur précise tel citron ou cookie, les méllanges de saveurs auréolés d'une touche d'additifs constitue le fleuron du marché.

03

Comment est obtenue la nicotine présente dans certains e-liquides ?

La nicotine habituelle

La nicotine est un composant présent dans la cigarette traditionnelle. C’est cette substance qui est responsable de la dépendance du fumeur. Pour pallier cette dépendance, la cigarette électronique a vu le jour.

Dans le but d’assurer une période de sevrage aisée aux anciens fumeurs, les liquides électroniques contiennent de la nicotine. Cela permet aux fumeurs et à tous les autres vapoteurs d’avoir leur dose habituelle de la nicotine.

Cette substance est présente dans la plante de tabac. Pour extraire la nicotine, les fabricants se servent de diverses techniques. Lorsque la nicotine est extraite à cette étape, elle est encore sous forme brute.

Il s’ensuit donc tout un travail afin de purifier la nicotine. Ce travail d’extraction de la nicotine se fait dans des pays comme la Chine et l’Inde. Néanmoins, les fabricants s’assurent que la méthode d’extraction respecte les normes européennes.

Ceci peut se comprendre aisément, car la nicotine est extraite des plants de tabac à l’aide de solvants. Ce processus est donc très pointu. Un certain sérieux est suivi lors de l’extraction de la nicotine afin de donner un produit sain aux vapoteurs.

Comme indiqué plus haut, la nicotine permet de combler le manque de ceux qui ont l’habitude de fumer. Cependant, il faut préciser que la nicotine présente dans la cigarette électronique n’arrive pas à vite satisfaire le vapoteur.

Cela peut se comprendre par le mode de diffusion de la nicotine qui est beaucoup plus lent lorsqu’on se sert de la cigarette 2.0. Cette manière de diffusion de la nicotine permet au vapoteur de ne pas devenir dépendant.

Mais, dans le même temps, le vapoteur doit tirer beaucoup plus de bouffées avec l’ecig pour atteindre la même satisfaction qu’il a avec une clope. C’est pour cette raison que les fabricants de liquides électroniques ont mis sur le marché le sel de nicotine.

Les sels de nicotine : qu’est-ce que c’est ?

La nicotine est un composant présent naturellement dans les plantes de tabac. Cette substance une fois extraite des plantes est purifiée pour donner la nicotine qu’on trouve dans les liquides électroniques.

Lorsque la nicotine est extraite des plantes de tabac, elle subira différentes transformations en fonction du résultat recherché. Cette nicotine de base est présente dans la plupart des substituts nicotiniques, e-liquide y compris.

Le pH de la nicotine purifiée est évalué à 8 tandis que celle de la nicotine naturelle est bien inférieure. La nicotine est un composé acide puisque son pH est situé entre 5 et 6.

L’obtention des sels se fait en redonnant à la nicotine extraite des plantes son acidité. Pour ce faire, les fabricants rajoutent une solution acide à la nicotine-base pour faire ressortir les sels.

Les sels de nicotine sont donc beaucoup plus proches de la nicotine extraite des plantes de tabac. C’est pour cette raison que les sels de nicotine ont des effets plus directs contrairement à la nicotine classique.

nicotine vs sels de nicotine
présence d'alcools dans les e-liquides

04

L’alcool dans les e-liquides

Comment expliquer la présence d’alcools dans certaines recharges électroniques ?

L’alcool est présent dans certains liquides électroniques. Si les fabricants font recours à ce composé, c’est dans le but de pouvoir fluidifier les liquides électroniques.

La présence de l’alcool n’est donc pas pour combler ou pour remplacer les arômes. En effet, l’alcool utilisé dans les jus électroniques est de l’éthanol dénaturé. Parfois, on peut ajouter à l’éthanol du propanol ou du méthanol.

Tous ces différents alcools ne sont pas aromatisés. Ils ne peuvent donc pas agir sur le goût ou sur les arômes du liquide électronique. Ces arômes ont simplement un but chimique.

En plus de cet alcool, les liquides électroniques ne comportent plus d’autres composés du même type. Même les jus électroniques aux saveurs rhum ou mojito ne contiennent pas de l’alcool. En effet, dans ce genre de recharges électroniques, ce sont des arômes qui imitent les saveurs alcoolisées.

Si vous optez pour le DIY, il ne faut pas essayer d’ajouter du whisky, du rhum ou de la téquila à vos mélanges. L’alcool qui est ajouté aux liquides électroniques est particulier. Il permet de liquéfier le jus électronique afin de le rendre moins visqueux. L’alcool est aussi utile, car il agit comme exhausteur de goût.

Tous les liquides électroniques ne contiennent pas d’alcool. En effet, il est bien possible de concevoir des recharges électroniques sans y ajouter de l’alcool.

Comment certains fabricants de liquides électroniques font pour ne pas mettre de l’alcool dans leurs produits ?

Tous les fabricants n’ont pas recours à l’alcool dans leurs liquides électroniques. En effet, il faut savoir que d’autres composants comme le propylène glycol peuvent jouer le rôle de l’alcool. En effet, le PG permet aussi de fluidifier les liquides électroniques.

Ces fabricants font donc le choix de ne pas mettre l’alcool dans leur recharge électronique. Il faut aussi préciser que d’autres éléments peuvent jouer le rôle d’exhausteur de goût.

En ce qui concerne la quantité d’alcool présente dans les recharges électroniques, cette dernière est très faible. Ce qu’il faut savoir c’est que la quantité d’alcool dans une recharge électronique ne peut jamais dépasser 6 %.

Ce petit pourcentage d’alcool présent dans les jus électroniques ne peut pas avoir d’effets enivrants sur le vapoteur. D’abord, parce que la quantité d’alcool est très faible.

Ensuite, il faut rappeler que cet alcool est conçu pour être inhalé et non ingéré comme on consomme de l’alcool classique. Il ne faut donc pas se faire de soucis par rapport à l’alcool présent dans les e-liquides.

Vous ne deviendrez pas saoul en vapotant un jus électronique. Toutefois, pour ceux qui ne consomment du tout pas de l’alcool, il existe des jus sans ce composé. Généralement lorsque l’e-liquide contient de l’alcool, la présence de cette substance est signalée sur l’étiquette.

05

Quels sont les grands labos de production d’e-liquides en France ?

Les Français ne sont pas à la traîne en ce qui concerne l’innovation dans le monde des liquides électroniques. En effet, certains laboratoires français sont à la tête de beaucoup d’innovations en ce qui concerne les jus électroniques.

L’un des laboratoires français les plus connus dans le monde pour son sens de l’innovation reste Xérès. Ce laboratoire est celui qui a mis le végétol sur le marché. C’est un produit révolutionnaire qui a permis de remplacer le propylène glycol. Un produit qui est parfois irritant pour certains vapoteurs.

Un autre laboratoire qui revient dans les esprits lorsqu’on parle de vape en France reste LFI (Laboratoire Français Industriel). C’est un laboratoire qui met sur pieds différents liquides électroniques pour des marques européennes et françaises.

Le but de ce laboratoire reste de fournir des liquides électroniques respectant les normes européennes. Les e-liquides fabriqués par LFI sont des gages de qualité.

Les grandes marques de e-liquide Français ont leur propre labo ou sous-traite la production laborantine auprès de grands laboratoires français. Étant donné les normes de contrôle et de qualité en France, et vu le degré d'exigence de certains fabricants, force est de constaté que l'on produit, en France, des e-liquides de grande qualité. VDLV, Alfaliquid ou Savourea n'utilisent, pour ne citer qu'eux, que des arômes naturels de la meilleure qualité.

quels sont les laboratoires françois qui fabriquent du e-liquide
législation des e-liquides

06

Quelle est la législation autour des liquides électroniques en France ?

La vente, la fabrication et la distribution de liquides électroniques en France sont soumises à une directive Européenne nommé TPD, pour Tobbacco Product Directive. C’est une directive sur les produits du tabac qui est en vigueur sur le territoire européen depuis 1989. Il est à noter que la vape est considéré, aux yeux du droit européen, comme assimilé au tabac.

Selon cette loi, et en ce qui concerne la vape, on ne peut pas vendre un flacon de liquide électronique nicotiné d’une contenance supérieure à 10 ml. De même, la concentration de nicotine dans ces recharges électroniques est limitée à 20 mg/ml.

Lorsque le liquide contenant de la nicotine est présent dans une cartouche jetable, sa contenance ne peut pas excéder 2 ml. Le TPD impose certains affichage sur le packagaging également.

Ce qu’il faut comprendre, c’est que la directive TPD est un ensemble de lois assez contraignant pour tous ceux qui travaillent dans le domaine de l’e-liquide en Europe mais que cette contrainte vise à garantir une qualité de produits supérieure. Il s'agit avant tout de protéger le consommateur et la première mission de la TPD est de garantir des produits de qualité en Europe.

La France va plus loin encore avec l'Afnor qui oeuvre pour la sécurité et la qualité de la vape en France et qui produit des certifications ou l'ANSES qui diligente des études, analyse et contrôle les déclarations de produits et matériels de vape.

Copyright 2022, PG-VG.FR

Tous droits réservés